Comme les films des frères Coen, les films de James Gray sont de vraies odyssées.
L’hiver approche, et je pense soudainement à Little Odessa. Sa neige.
Je pense soudainement à la beauté des personnages de The Immigrant, que je n’ai pas vu, mais qui est visible dès la bande-annonce.
La beauté des mouvements des films de James Gray.
La lenteur des déplacements, cette colère noire.
Le tragique dans la vie.
James Gray est incontestablement un cinéaste important.
A voir, à découvrir, à redécouvrir